| | Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires | |
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| Sujet: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Dim 8 Mar - 21:32 | |
| NOM : Surey, elle le dira, le crachera de cette voix teintée d'amertume, de fierté surtout de regrets. Elle n'ira pas plus loin. Peu prolixe. Ne vous contera aucune historiette à la gloire de ses ancêtres dédiée pas plus qu'elle n'inventera quelques balivernes pour vous emberlificoter. Mais, il glissera sur votre langue, ce patronyme anglais. Il se racontera à vous en invoquant les terres d'albâtres, les prairies verdoyantes du comté de Surey. Le paradoxe criard, l'agitation, les convenances du sud est. De Surey, peut-être qu'elle l'a toujours été, bien au fond. Fille de ce père parti trop tôt, de cette femme éplorée qui un jour n'a rien trouvé de mieux qu'être cette brume salement dispersée. Au vent, de Surey. Bon vent ! PRÉNOMS : Philippa. Gabriella. Deux prénoms qu'elle exècre par tous les pores. La féminité comme un complexe, une malédiction qu'elle traine, dont elle ne pourrait se défaire qu'en l'embrassant pleinement. Nassau l'a changé, Nassau à la rose, lui a offert ses épines, incrustées désormais, Lippa n'a plus rien d'une fleur, plus rien de celle qui ornait son coeur. La rose anglaise ne lui dit rien. Rien qui vaille. Rien qui ne puisse lui inspirer autre chose que le mépris. De ce système social, de cette politique niaisarde. de la reine et du peuple qui hurle à la faim comme le loup à la lune. Des privilèges nauséabonds. Du faux, du vrai. Du tout ce qui se joue à l'or et qui, pourtant, n'a pas de prix.ÂGE : vingt deux pétales tombées, fanées, emportées par le temps fuyard. Traitre qui vous déleste des souvenirs heureux, imprègne en profondeur le malheur et lui offre le plus beau des tombeaux dans le cœur. La perte des valeurs, la perte de. De ce qui vous définissait et qui, n'est plus. Mais, Lippa, parfois lorsque , bien haut dans la voute ,les constellations iridescentes se déploient et lui murmurent ô combien elle est infime, Lippa, elle se rappelle. Elle a ce sourire qui lui découpe délicatement les lèvres, celui des souvenirs. Des rires d'antan. De la tendresse maternelle. L'époque bénie où le monde lui appartenait encore, qui la salue de loin. Toujours de loin. Maturité et lucidité ce sont depuis bien longtemps chargées d'anéantir toute candeur. A bon entendeur.DATE ET LIEU DE NAISSANCE : vingt-six février de l'an de grâce mille six cent quatre vingt huit. Pas bien loin de Londres. L'important c'est de ne pas oublier. Elle vous dira. L'important c'est ça. ORIGINES : anglaises, écossaises. rien de mirobolant. guère de quoi briser les pattes d'un canard. à quoi bon tergiverser sur les origines qui lui octroient sa carnation porcelaine, la blondeur de ses cheveux ou encore le galbe de son épine dorsale. NATIONALITÉ : britannique comme la plupart des âmes perdues sur cette île putanesque. elle est de ceux. Ceux-là, oui. Elle l'assume pleinement. STATUT CIVIL : cœur à pourfendre. son bienfaiteur refuse d'accorder sa main aux boucaniers aux manières aussi répugnantes qu'à la morale faisandée. Même s'il en est un. Lippa n'a pas son mot à dire même si, elle en pousse des gueulantes. Ca l'arrange, au fond. Alors, elle n'en n'a cure.PROFESSION : elle travaille dans une taverne, sert les roublards qui saouls, voient leurs langues se délier, elle tend l'oreille, retient, insidieusement. pourtant, l'on conte surtout ses prouesses en cartographie. Les océans et les terres n'ont pour elle aucun secret. la géographie, l'océanographie, deux disciplines qui l'ont toujours fasciné. CRÉDITS : fassylover | here for eternity
nothing left to say≈ 001. aujourd'hui, Lippa abhorre ses ascendants. Leur impute la souffrance ressentie, les humiliations subies. la peur qui lui a si longtemps vrillé les tripes.≈ 002. Ses parents, tous deux issus de la bourgeoisie ayant souvent eu ses entrées aux mondanités qui pullulaient autrefois à Londres, ne lui ont légué qu'un sentiment profond d'incompréhension, de rancune. L'impression effroyable d'avoir été abandonnée à son sort. Le décès de sir Theodore de Surey a laissé sa veuve et sa fille, complètement éplorées et en proies aux réclamations. Catherine de Surey effondrée ne trouva aucune autre solution que la fuite, laissant la petite Philippa derrière elle. Lorsque la mort frappe, s'éveillent les vautours. Et c'est donc tout naturellement qu'un cousin par le sang vint réclamer l'héritage et l'enfant. Lippa avait sept ans. L'innocence lui épargna les pleurs et les questionnements douloureux. Toutefois, elle fit son chemin sans s'encombrer de cette tendresse qu'elle aurait aimé immuable. Car, il en va de soit, ledit cousin ne fut pas aussi aimant qu'un père, sa femme aussi maternelle que Catherine l'avait un jour été. La petite Lippa fut reléguée au statut de contrariété. Ils lui offrirent les services de précepteurs jusqu'à ce qu'ils n'y virent là aucune obligation. Jusqu'à ce qu'ils décident de l'envoyer jouer les gouvernantes dans l'arrières rang. ≈ 003. Lippa avait treize ans lorsque Monsieur C. fit sa grande entrée dans son existence. Ange au teint halé, descendu du ciel pour lui porter secours. Hâbleur de sensation , marchand d'étoiles , capitaine levant les voiles de ses paupières. Monsieur C. devint un père, pour elle. Un mentor. S'il se présenta comme un négociant, il se révéla pirate, à sa grande stupéfaction.≈ 004. Lippa n'a pas le pied marin. Lorsqu'elle se joint à une quelconque excursion c'est pour rendre ses tripes les premières heures. On lui crache souvent qu'elle n'est qu'un marin d'eau douce, provocation à laquelle elle répond souvent par un geste qui ferait rougir la Stuart. ≈ 005. Lippa, derrière ses airs d'amazone paumée sur une île misogyne, elle croit. En celui qui occupe les cieux. pas pour rien qu'un crucifix orne son cou et qu'elle assiste souvent à l'office.≈ 006. l'art du combat. Elle remercie monsieur C. de lui avoir appris à défendre son honneur elle-même, comme il le dit souvent : "un bon crochet suffit ". Pas besoin donc de sabrer.≈ 007.franchise et loyauté sont pour elle sceaux des vertus. ≈ 008. cependant, elle n'a d’allégeance qu'envers elle-même. Dieu possède sa ferveur, l'or sa gratitude, Monsieur C. sa reconnaissance. Point.≈ 009. la littérature anglaise l'horripile toutefois, elle apprécie les écrits grecs et français. Eh oui, boursemolle, elle s'adonne souvent à la lecture. même si, elle le fait là où les regards ne peuvent le savoir. ≈ 010. Lippa observe, Lippa conserve. Elle ne parle guère pour meubler. Le silence s'en charge suffisamment. |
incoercible ›› nora ›› comme si j'allais cracher l'morceau PAYS : la gaule. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7/7j. sauf cas d'examen VOTRE AVIS SUR NSWD : farpait, te jure, susu COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM : zzarba PERSONNAGE : inventé CÉLÉBRITÉ : Gaia Weiss VOYEZ VOUS DES CHOSES A AMÉLIORER ? : que dalle pour l'moment UN DERNIER MOT ? : bééééégéééééééé
Dernière édition par Lippa Surey le Mar 10 Mar - 17:40, édité 12 fois |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Dim 8 Mar - 21:33 | |
| Troubled spirits on my chest Million stars up in the sky Formed a tiger's eye That looked down on my face, Out of time and out of place.
LONDRES neuf ans auparavant« Il est installé dans le p'tit salon, ma p'tite » - cracha Mathilda, conspiratrice. « va donc, t'pourras peut-être l’apercevoir entre les deux battants » ajouta cette dernière, un sourire sur les lèvres. Lippa prit une profonde inspiration, mordillant sa lèvre, angoissée, affligée. Inutile aurait été de prétendre le contraire. « 'paraît qu'il vient te récupérer. Honorer un serment fait à ton défunt père ». Mathilda faisait souvent bonne chiair, c'était ,d'ailleurs, pas pour rien qu'elle cultivait le bidon et les joues rosies par l'effort. Elle portait un panier à linge et, Lippa qui préparait son départ pour Nottingham traînassait du côté de l'aile des domestiques. Parce que. Qu'elle savait son départ imminent. Parce qu'elle voulait que le moindre objet s'imprègne là, dans sa tête d'adolescente. Elle savait, au fond de ses tripes qu'elle partirait, oui. Surtout qu'elle ne reviendrait pas. Jamais. Cette certitude la réveillait la nuit, ça et les cauchemars. Ceux où sempiternellement elle se retrouvait seule, au milieu d'un vaste océan, sans vivres. Seule contre tous. Seule. Mais, elle qui croyait qu'elle irait surveiller un diablotin pas plus haut que trois pommes, elle allait être surprise. Elle l'était, à cet instant, les poumons comprimés dans sa cage thoracique, la sueur perlant le long de son épine dorsale. Elle déglutit péniblement, vaine manière d'éradiquer l'appréhension vile. « c'est inespéré, Mathilda » inespéré. Combien de fois avait-elle rêvé de ça, combien de fois depuis ses sept ans ? Un millier, certainement. « Qu'en a dit mon cousin ? ». Le rire qui retentit, en provenance de la domestique ne pouvait signifier qu'une seule chose. Son cousin était aux anges. Heureux d'être enfin délesté de l'embarras qu'elle représentait à ses yeux. « Ah vous voici, ma chère cousine Philippa ». Elle leva le regard, la blondinette, grinçant des dents. Elle ne supportait pas qu'on puisse l'appeler par son prénom. Elle le reniait et, ce maraud s'en amusait. Cousin qui ne souffrait sa présence que pour les terres et le titre. « J'ai quelqu'un à vous présenter ». Ce quelqu'un : Monsieur C. Monsieur Ange tombé du ciel. Monsieur qui lui fit grande impression. Rasé de près, dégaine indiscutable, allure de véritable gentleman. Il en avait l'allure et les manières, le verbe. Ce verbe qui lui fit entrevoir monts et merveilles. Le lendemain elle embarqua sur un bateau de marchandises se dirigeant vers New Providence, vers Nassau. Berceau des fourbes, des foutus. Elle ne le savait pas encore. Elle l'apprit, bien assez tôt. Elle vit bientôt de ses propres yeux le vice s'ériger là où le paradis semblait avoir été crée. Elle découvrit que Monsieur C. cet homme au regard doré n'était pas qu'un marchand mais bien pis. Un brigand, un pirate. Qu'il était de ceux. Ceux qu'on racontait la boule au ventre, une lueur dans les yeux. Mais au lieu d'avoir peur, Lippa, elle vit là une source de divertissement. Elle vit là le rêve qu'elle avait eu. Elle vit là les ailes qu'elle avait voulu. Et la cage dans laquelle elle se trouvait, brisée, disparue. NASSAU quatre ans auparavant.Bras croisés sur sa poitrine, le regard rivé sur celui qui lui avait tant appris, tant donné ces cinq dernières années, Lippa ne pipait mot. Incapable d'élever le ton, incapable d'exprimer correctement les tumultes qui s'élevaient aux tréfonds. La colère houleuse menaçait pourtant, ténébreusement, s'insinuait, scabreuse elle prenait de l'ampleur. Les traits séraphins crispés n'avaient plus rien d'amène, les mots du marin avaient l'incidence de poignards enfoncés dans son derme. Depuis quand décidait-il de tout ? Depuis le début. Pourquoi ? « Parce qu'le serment fait à ton père sur son lit d'trépas m'y contraint ». Ah – songea-t-elle, levant les yeux au ciel, décrochant à Monsieur C. un sourire désabusé. Elle avait appris, temps faisant, que son regretté père n'avait eu aucune sépulture et, elle se doutait bien qu'il était mort n'importe où sauf sur un lit. Des bruits couraient, libres comme l'air, caressaient les tympans concentrés. L'on disait bien des choses sur cet officier de la royal navy qui avait été lâchement assassiné mais, rien qui ne puisse dénoncer le meurtrier. C'eut été trop facile et, s'il y avait bien une chose que Lippa avait appris , à côtoyer ce monde fourbe, c'est que rien n'était servi sur un plateau. Qu'il fallait souvent – bien trop souvent – arracher l'heur, gratter jusqu'au sang, avec les ongles. « Vaine excuse, vous l'savez bien ». Ils le savaient bien. Lippa serra les poings, mordit l'intérieur de sa joue jusqu'à ce que le goût de rouille ne vienne se déverser sur ses papilles Ce même goût qui de manière occulte éveillait ses pulsions morbides, à ces instants-là, même Monsieur C. demeurait de ceux qui n'y pouvaient rien. Rien y faire. Rien, à l'évidence, mis à part regarder le carnage psychique prendre davantage d'ampleur. Frustrée, Lippa claqua rageusement la porte de ce qui lui servait d'antre, priant pour que le maudit ne vienne guère lui conter quelques sornettes et lui reprocher son outrecuidance, comme à son aise. L'habitude de jouer les pères, dramaturge de grande instance. Mais, elle avait déjà eu un père. Et ça n'était pas lui.« Te sens-tu bien plus amène à palabrer ? » - Monsieur C. esquissa un geste, celui qui avait pour but d'inviter la jeune fille à prendre place autour de la table, face à ce monstre d'orgueil qui ne démordait jamais mais qui avait fini ,un jour inopiné, par ouvrir son cœur aux sentiments bien plus nobles que l'amitié. L'amour. C'était ce sentiment d'homme faible qui n'avait de cesse de croître en lui, envers cette intrigante. Celle qui se mouvait avec grâce et, employait des expressions qui juraient avec les manières locales dépourvues de chichis, celle qui désormais crachait bien mieux que lui et relevait tout défi. Il la considérait comme sa fille, Monsieur C. Elle arrivait parfois à déceler l'éclat de fierté dans son regard mordoré, Lippa. Son noble organe se serrait alors dans sa poitrine à lui en faire mal. Parce qu'il était là. Parce que c'était elle. Parce qu'ils se serraient les coudes sur cette île oubliée des dieux. Où les bordels poussaient comme de la mauvaise herbe, où l'humain semblait répondre à quelques instincts bien sombres. Lippa, elle saluait la nostalgie des jours perdus. Ceux où la pluie battait le toit des maisons, ceux planqués derrière d'épais nuages. Fronçant le nez, elle fit signe qu'elle était « amène ». Amène à discutailler de ce sujet qui – bon nombre de fois – ne faisait qu'attiser les feux de la colère. « Et vous, l'êtes vous ? ». De toute façon, c'vieil ours mal léché l'était rarement. Elle s'était fait une raison. Laconique, il déversait sa rage lorsque les barrières cédaient. Lippa, tête blonde et regard angélique, elle, réussissait l'exploit. Elle avait, après tout, cette propension surnaturelle à inspirer la fureur. « Ton entraînement commencera demain matin » - souffla-t-il, s'emparant d'un verre vide. Trépignant de fougue, Lippa avala les mètres, fit main basse sur la carafe pleine de vin et tout en le servant constata d'un ton taquin « dites donc, votre enthousiasme m'étreint ». Monsieur C. il voulait lui offrir le monde. Parce qu'il cherchait la rédemption. Il voulait racheter l'erreur , la sienne. Et faire taire la culpabilité qui lui trifouillait la cervelle. Définitivement. Mais ça, ça ne le concernait que lui. au jour d'aujourd'hui« sers-moi une pinte de gueuse, ma jolie » - elle esquissa un rictus, malfaisant. Le maroufle atteint de scorbut lui souriait gaiement, les yeux pétillants de malice, lubrique, il lui fit signe, persuadé d'être un apollon sur terre. L'alcool qui coulait à flot y était pour grande part, décuplait son courage, son assurance, surtout. Elle lui sourit en retour, effectuant ce pourquoi elle avait été hélée, versant le breuvage dans la chope qu'il lui présentait. « Et voici ta commande,vieil ivrogne ». Lippa, elle trouvait le coin paradisiaque, adéquat pour ses parallèles. Elle servait la clientèle et s'en faisait, par la même occasion. Elle avait commencé sous un pseudonyme – Lebel en dessinant une carte à partir d'un cahier de bord retrouvé sur l'une des chaises, égaré là par un sombre inconscient. Carte qu'elle avait vendu à prix concurrentiel. Depuis ce jour, l'on venait la mander parce que ses travaux démontraient une certaine précision. « il me plairait bien de... » - rempila le saoulard, agrippant son avant bras. Lippa prit une profonde inspiration, enserra la main parasite et fit en sorte de tirer de l'audacieux un cri de douleur. « prends garde, vieil ivrogne ou t'risquerais de te retrouver aussi fertile qu'un chapon». Malheureusement, gagner sa croute n'avait pas qu'ses avantages, dans les parages. Elle le relacha, sans faire d'esclandre. Parce qu'elle savait que Monsieur C. veillait au grain. Qu'il vérifiait. Ses espions étaient partout. Ça n'était pas plus mal pour l'aimant à problèmes qu'elle avait toujours été jusque là. Il était devenu ce père. Dans un clignement de paupière. Sans qu'elle ne sache ni ne comprenne comment.
Dernière édition par Lippa Surey le Mer 11 Mar - 20:23, édité 19 fois |
| | | Wolfe RamseyAdmin ›› the pirate king.› messages : 739
› inscrit(e) le : 08/03/2015
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| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Dim 8 Mar - 21:41 | |
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| | | Harley OakenAdmin ›› the pirate king.› messages : 2012
› inscrit(e) le : 19/12/2014
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| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Dim 8 Mar - 21:44 | |
| GAIA ELLE EST TROP SWAG Bienvenue, bonne chance pour ta fiche Si tu as des questions, n'hésite pas |
| | | Lettie WalpoleAdmin ›› the pirate king.› messages : 307
› inscrit(e) le : 19/12/2014
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| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Dim 8 Mar - 21:47 | |
| GAIA elle est topissime dans Vikings avec sa nouvelle coiffure trop bioutifoul et stylééée de la vie (bah ouais qui dit nouvelle saison dit nouveau style :mex: ) bienvenue ici et bon courage pour ta fiche, n'hésite pas à mpotter un membre du staff en cas de question |
| | | Aries CostelloAdmin ›› the pirate king.› messages : 4753
› inscrit(e) le : 08/03/2015
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| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Dim 8 Mar - 21:49 | |
| UN JOUR, un jour... je continuerai vikings en tout cas, gaia est un super choix, elle est miiaaam bienvenuuuuuuuue |
| | | Jehanne VaroneMembre ›› all the crew aboard.› messages : 199
› inscrit(e) le : 08/03/2015
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› comptes : Payton Valentyne, une infirmière presque sans emploi
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Lun 9 Mar - 15:06 | |
| Gaiaaaaaa Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! Je sens que ça va envoyer du pâté !!! |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Lun 9 Mar - 20:57 | |
| Wolfe - palsembleu serait-ce Barnes mon époux arf, il vend du rêve ton personnage ma parole merci beaucoup Harley - je n'ai b'soin de personne ( ouai, j'fais la blague parce que. Parce que) en tout cas, Toby gracias muchacho Lettie - MA CHEEEEEEERIEEEE TIATOUTAFE RAISON. J'aime ton style - les yeux charbonneux et tout et tout, surtout le poste de quartier maitre trop de perfection tébelle. Aries - comment Santiago il me rend ouf. En tout cas, excellent choix d'scénario - j'vais shipper à moooooooort, c'est dit - cimer Jehanne - CLA-RA - putain comment je l'apprécie plus dans la nouvelle saison idkwhy tébelle. en tout cas, vous êtes trop bebom |
| | | Hewry RisleyMembre ›› all the crew aboard.› messages : 624
› inscrit(e) le : 08/03/2015
› avatar : Colin O'donoghue
› crédits : tag
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mar 10 Mar - 11:51 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | Isolde RutherfordMembre ›› all the crew aboard.› messages : 2336
› inscrit(e) le : 08/03/2015
› avatar : caitlin stasey.
› crédits : prittiebird & dyxie.
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mar 10 Mar - 14:22 | |
| bienvenue à toi ma belle j'adore ton vava |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mar 10 Mar - 16:25 | |
| Welcome here, Lippa. |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mar 10 Mar - 21:24 | |
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| | | Harley OakenAdmin ›› the pirate king.› messages : 2012
› inscrit(e) le : 19/12/2014
› avatar : toby stephens.
› crédits : ghost.writer (avatar).
› comptes : eleanor, gabriel et annabel.
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mar 10 Mar - 22:36 | |
| Aloooors, il y a juste un truc qui me dérange : comment est-ce qu'elle est arrivée à Nassau ? :hum: L'histoire commence directement à Nassau alors qu'elle est née pas loin de Londres je pense qu'il faudrait rajouter quelque chose sur son arrivée sur l'île, comment et pourquoi |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mar 10 Mar - 22:58 | |
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| | | Baldwyn GodfreyMembre ›› all the crew aboard.› messages : 2204
› inscrit(e) le : 10/03/2015
› avatar : Zach sexy McGowan
› crédits : Moi même & Tumblr (gifs)
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mer 11 Mar - 18:18 | |
| Porunn ! |
| | | Idelle HawlesMembre ›› all the crew aboard.› messages : 4116
› inscrit(e) le : 08/03/2015
› avatar : emilia clarke.
› crédits : ///
› comptes : rhea « pleine aux as » vaughn.
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mer 11 Mar - 20:01 | |
| J'te souhaite la bienvenue jolie demoiselle |
| | | Harley OakenAdmin ›› the pirate king.› messages : 2012
› inscrit(e) le : 19/12/2014
› avatar : toby stephens.
› crédits : ghost.writer (avatar).
› comptes : eleanor, gabriel et annabel.
| Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mer 11 Mar - 20:21 | |
| félicitations, te voilà validé(e) ! |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mer 11 Mar - 20:22 | |
| J'arrive juste au bon moment xD Bienvenue parmi nous belle demoiselle |
| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires Mer 11 Mar - 20:35 | |
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| | | | Sujet: Re: Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires | |
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| | | | Lippa ㄨ y a des couteaux dans nos sourires | |
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